
Découvert en 1905, il s’agit d’un rempart encerclant une surface de 500 m² et sur laquelle furent découverts de « nombreux débris de poteries grises qui rappellent celles des Volces Arécomiques et quelques silex grossièrement taillés et fortement patinés » (Provost et al. 1999a, 347). La prospection effectuée en 2010 sur ce site a permis de retrouver cette enceinte, néanmoins aucun tesson ne fut repéré. Cet établissement reste donc à ce jour mal daté et difficile à caractériser; sa petite superficie le distingue des établissements contemporains.
« Archéologie de la haute et moyenne vallée du Vidourle, de l’âge du Fer à l’an mille » par Maxime Scrinzi.