Le puits du Marais (antérieurement puits Rolland n°2) est l’un des deux derniers vestiges de l’époque minière du Chambon-Feugerolles. À l’époque la ville comptait une trentaine de puits. Le chevalement (unique en Europe) et quelques bâtiments ont été préservés de la destruction tandis qu’un bassin de décantation des eaux ferrugineuses (l’eau se charge en fer dans les anciennes galeries) permet de « dépolluer » l’eau qui se jette dans la rivière Ondaine.
Le bassin de décantation permet de rendre à l’Ondaine sa couleur naturelle. L’eau qui ressurgit des anciennes galeries devient rouge après être entrée en contact avec le minerai de fer. Un procédé naturel (avec notamment des roseaux) permet de libérer une eau 17 fois moins ferrugineuse que celle extraite de l’ancienne mine.
Le puits du Marais (antérieurement puits Rolland n°2) est l’un des deux derniers vestiges de l’époque minière du Chambon-Feugerolles. À l’époque la ville comptait une trentaine de puits. Le chevalement (unique en Europe) et quelques bâtiments ont été préservés de la destruction tandis qu’un bassin de décantation des eaux ferrugineuses (l’eau se charge en fer dans les anciennes galeries) permet de « dépolluer » l’eau qui se jette dans la rivière Ondaine.
Le bassin de décantation permet de rendre à l’Ondaine sa couleur naturelle. L’eau qui ressurgit des anciennes galeries devient rouge après être entrée en contact avec le minerai de fer. Un procédé naturel (avec notamment des roseaux) permet de libérer une eau 17 fois moins ferrugineuse que celle extraite de l’ancienne mine.